Glossaire

Aire d'alimentation d'un captage.

Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie.

Réseau des professionnels de la haie, des arbres champêtres et des agroforesteries.

cours d'eau qui va se jeter dans le cours d'eau au débit plus important ; la zone de rencontre de ces cours d'eau est appelée la confluence.

façon de concevoir des systèmes de production qui s'appuient sur les fonctionnalités offertes par les écosystèmes. Elle les amplifie tout en visant à diminuer les pressions sur l'environnement (ex : réduire les émissions de gaz à effet de serre, limiter au maximum le recours aux engrais de synthèse et aux produits phytosanitaires...) et à préserver les ressources naturelles (eau, énergie, éléments minéraux...). Il s'agit d'utiliser au maximum la nature comme facteur de production en maintenant ses capacités de renouvellement.

la partie la plus élevée du cours d'eau par rapport à l'observateur s'appelle l'amont, la partie la moins élevée s'appelle l'aval. Il faut se tourner dans le sens de l'écoulement du cours d'eau (de l'amont vers l'aval) pour définir la rive droite et la rive gauche d'un cours d'eau.

bassin versant. Ensemble du territoire qui recueille l'eau pour la concentrer dans une rivière et ses affluents. Un bassin versant a des frontières naturelles appelées "lignes de partage des eaux". Elles suivent la crête des collines. La gestion collective de l'eau et des milieux aquatiques à l'échelle du bassin versant contribue à son bon fonctionnement.

Communauté de communes d'Erdre et Gesvres.

Centre d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural.

Coopérative d'utilisation de matériels agricoles.

C'est un embranchement de bactéries (procaryotes), autrefois appelées « algues bleu-vert ». Il comporte l'unique classe des Cyanophyceae, aussi appelées Cyanophycées. On en connaît plus de 7 500 espèces, (dont au moins 200 pouvant être libres, c'est-à-dire non symbiotiques et capables d'une vie indépendante), réparties dans plus de 150 genres.

Réseau de fermes pilotes pour mutualiser les bonnes pratiques, dans le cadre du Plan Ecophyto.

Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement.

plan qui vise à réduire progressivement l’utilisation des produits phytosanitaires (communément appelés pesticides) en France tout en maintenant une agriculture économiquement performante.

Espèces exotiques envahissantes.

obstructions d'un cours d'eau formées le plus souvent par des branches, des troncs et des détritus divers.

Etablissement Public de Coopération Intercommunale.

Apport en excès de substances nutritives (nitrates et phosphates) dans un milieu aquatique pouvant entraîner la prolifération des végétaux aquatiques (parfois toxiques).

Une frayère est le lieu où se reproduisent les poissons et les batraciens et par extension les mollusques et les crustacés.

Groupement d'agriculteurs biologiques.

Gestion des Milieux Aquatiques et la Prévention des Inondations.

zone d'un cours d'eau où les eaux s'écoulent en temps normal. Lors des épisodes de crue, le cours d'eau sort de son lit mineur pour envahir son lit majeur.

Mesures agro-environnementales climatiques.

type de formation paysagère au relief peu accidenté, où le sol est recouvert en permanence ou par intermittence, d'une couche d'eau stagnante en général peu profonde et couvert d'une végétation caractéristique.

En marine, groupement, société, association, qui dispose d'un bateau, à titre gratuit ou non

Office National de l'Eau et des Milieux Aquatiques.

Politique agricole commune.

Plan agro-environnemental climatique.

Plan pour la compétitivité et l'adaptation des exploitations agricoles.

Plan de développement régional.

formation végétale naturelle et riveraine d'un cours d'eau ou d'une zone humide. Elle peut former une bande étroite ou une forêt large suivant le type de rivière et l'entretien qui y est pratiqué.

Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux.

Surface agricole utile.

Schéma directeur d'aménagement de l'espace rural.

Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux.

schémas régionaux de cohérence écologique.

Volet milieux aquatiques.

Zone d'actions prioritaires.

Zone d'actions renforcées.

La loi sur l'eau définit les zones humides comme «les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d'eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l'année». Les zones humides, de par leur fonction d'éponge et de filtre, jouent un rôle primordial de préservation de la qualité de l'eau.

Une zone spéciale de conservation (ZSC) est, en droit de l’Union européenne, un site naturel ou semi-naturel désigné par les États membres, qui présente un fort intérêt pour le patrimoine naturel exceptionnel qu'il abrite. Sur de tels sites, les États membres doivent prendre les mesures qui leur paraissent appropriées (réglementaires, contractuelles, administratif, pédagogiques, etc.) pour conserver le patrimoine naturel du site en bon état.